Pour faire croître la demande à long terme de bois d’œuvre résineux, il est primordial de faire progresser l’enseignement supérieur axé sur le bois. La division de l’éducation du SLB augmente la capacité d’enseignement à l’échelle nationale en dotant les éducateurs des connaissances, des incitatifs et des ressources pour porter le bois à l’avant-plan de leurs studios et laboratoires. L’effet cumulé : un professeur peut enseigner à des centaines d’étudiants tout au long de sa carrière. Depuis 2021, la division de l’éducation du SLB a organisé 12 ateliers de perfectionnement des professeurs dans de grandes universités, ce qui a mobilisé 250 professeurs de 186 programmes et 47 États.

Un sondage est effectué chaque année auprès des éducateurs très engagés pour mesurer l’incidence des ateliers et des ressources de la division de l’éducation du SLB. Les résultats sont encourageants : environ 80 % d’entre eux disent intégrer le nouveau content axé sur le bois dans les 12 mois de la prise de contact et en moyenne, chaque professeur forme 29 futurs professionnels par année. Cette approche fournit un aperçu mesurable du passage de la sensibilisation à l’adoption, en transformant un investissement ponctuel en effet permanent sur les programmes d’architecture, d’ingénierie et de gestion de la construction.

Le SLB a récemment sondé des investisseurs afin de cartographier les partenariats universitaires en cours pour repérer les endroits où la coordination pourrait augmenter l’incidence en soutenant les priorités, en renforçant les efforts conjoints de diffusion et en mettant les investisseurs, les fabricants, les écoles et les ressources en contact avec une meilleure efficacité. Par exemple, dans un studio de conception-construction parrainé par le SLB à la North Carolina State University, deux professeurs ont guidé 15 étudiants en architecture dans la création du projet The Floating Grove, une classe extérieure en CLT et en bois lamellé-collé, la première structure en bois massif de l’école. Les étudiants en ont retiré une expérience pratique en conception, en fabrication et en construction, pour jeter un pont entre l’apprentissage en classe et la préparation du chantier.

REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION DU SLB

De la classe à la construction : le rôle des professeurs dans le façonnement de la construction en bois

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Photo : Breyden Anderson

Pendant cinq jours de septembre, les étudiants ont campé et collaboré pour ériger des installations interactives à grande échelle en bois sur le site du festival de musique historique de Woodstock. En tant que commanditaire principal de BuildFest 2, qui fait partie du Bethel Woods Art & Architecture Festival 2025, la division de l’éducation du SLB a renouvelé son soutien à l’enseignement expérientiel de la conception qui place le bois d’œuvre au premier plan. L’événement de cette année a attiré 160 étudiants et professeurs de 15 universités, soit plus que les 120 participants issus de dix écoles de l’année dernière.

Des équipes de la University of California, à Los Angeles, à la Cornell University ont exploré la fabrication expérimentale, les systèmes structuraux et l’accroche narrative par l’intermédiaire du bois d’œuvre. L’expérience de conception et construction a doté les participants d’une expérience directe et concrète de la performance, de la durabilité et du potentiel créatif du matériau.

En mettant de nouveaux concepteurs en contact avec le bois à ce stade de leur carrière, la division de l’éducation du SLB et Think Wood, le visage public de l’engagement du SLB envers les étudiants, s’assurent que la prochaine cuvée d’architectes et d’ingénieur entame la pratique avec la confiance de choisir le bois d’œuvre, afin de générer une croissance à long terme pour l’industrie.

REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION DU SLB

Le projet BuildFest 2 fournit une expérience pratique de la conception en bois

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Resurgence | School of the Art Institute of Chicago

La prochaine vague d’architectes et d’ingénieurs déterminera la nature des matériaux qui formeront nos villes; le SLB veille à ce que le bois d’œuvre soit au premier plan de leur esprit dès le premier jour. C’est cette mission qui oriente le projet Timber in the City: Urban Habitats, qui entame son sixième cycle en collaboration avec l’Association of Collegiate Schools of Architecture (ACSA).

Cette compétition nationale de conception est l’une des plateformes les plus efficaces de la division de l’éducation du SLB pour influencer les futurs architectes et ingénieurs. En cinq cycles et dix ans, près de 3 500 étudiants de 95 universités (ce qui représente les deux tiers de tous les programmes d’architecture agréés en Amérique du Nord) ont participé au projet. Chaque mémoire invite les étudiants à repenser les logements urbains, la résilience et la durabilité, en plaçant le bois d’œuvre au centre d’une conception pratique et concrète.

Les compétitions étudiantes s’inscrivent dans une vaste stratégie du SLB, ancrée dans une perspective fondamentale : Le plus puissant levier de croissance des marchés est en amont de la pratique. En atteignant rapidement les étudiants et les professeurs, la division de l’éducation du SLB s’assure que la polyvalence, la durabilité et la valeur économique du bois sont incrustées dans l’approche conceptuelle de demain.

Alors que d’autres industries de matériaux ont longtemps investi dans les classes, le SLB veille non seulement à ce que le bois garde le rythme, mais à ce qu’il domine par son innovation. Grâce à des programmes comme Timber in the City, le SLB forme des professionnels informés et connaisseurs du bois, en sensibilisant aujourd’hui pour faire croître les marchés demain.

REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION DU SLB

Investir aujourd’hui dans les champions
du bois de demain

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A1550 Soldier’s Field Road | Icon Architecture | Photo : Dellbrook|JKS

Alors que la demande d’une construction de moyenne hauteur efficace augmente, WoodWorks dote les architectes, les ingénieurs et les entrepreneurs des compétences leur permettant de concevoir des bâtiments à ossature de bois légère de plus en plus imposants. Son programme de formation correspond exactement à la situation des professionnels, des architectes habitués à l’acier ou au béton aux ingénieurs qui s’attaquent à des projets avancés de six étages sur deux.

Le webinaire d’août sur l’ossature de bois légère a attiré près de 1 800 professionnels, ce qui souligne l’intérêt marqué de l’industrie pour du contenu de base en conception, comme la performance au feu et la performance acoustique. Les directeurs régionaux fournissent également du soutien technique individuel pour aider les équipes de projet à choisir l’ossature de bois légère en toute confiance pour les bâtiments de grande taille.

Parmi les succès récents figurent la sélection de l’ossature de bois légère plutôt que de l’acier pour un projet de cinq étages sur trois de 400 000 pieds carrés en tenant compte des enjeux liés au retrait, la résolution des problèmes de résistance au feu d’un développement de 18 bâtiments et 360 000 pieds carrés, et le soutien d’un projet hybride de 191 000 pieds carrés qui allie une ossature de bois légère à des éléments en bois massif.

En offrant une formation vaste et une expertise propre à chaque projet, WoodWorks permet d’accélérer l’adoption de l’ossature de bois légère à tous les niveaux d’expérience, en aidant les professionnels de l’architecture, de l’ingénierie, de la construction et de la conception à surmonter les obstacles techniques, à respecter les codes et à augmenter l’utilisation de cette structure dans les bâtiments multifamiliaux et à usage mixte.

Reportage de WoodWorks

La formation sur l’ossature de bois légère
aide les professionnels à tous les stades

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Janicki Industries Building 10 | Carletti Architects |
Photo : Vaagen Media

WoodWorks fait du bois une solution viable et évolutive pour les entrepôts, les centres de distribution et les centres de données, des segments qui représentent des débouchés importants pour la demande supplémentaire de bois d’œuvre.

Alimenté par l’essor du commerce électronique, le segment des entrepôts représente un volume annuel potentiel de près de 180 millions de pieds-planche, ce même pour une part de marché de seulement 5 %, mais qui pourrait augmenter beaucoup plus grâce à une meilleure pénétration : 552 millions de pieds-planche (part de marché de 13 %) et un plafond de 3,5 milliards de pieds-planche. En raison de la croissance exponentielle de la demande d’IA générative, la construction de centres de données devrait augmenter de 22 % en 2025 et de 15 % supplémentaires en 2026.

Les capacités du bois en matière d’environnement en font un excellent candidat pour ces segments. Microsoft, par exemple, a annoncé qu’elle construirait ses premiers centres de données en bois massif en Virginie du Nord afin de réduire considérablement l’utilisation de l’acier et du béton, deux sources importantes d’émissions de carbone. Voici ce que Greg Bauer, directeur général et chef mondial de la gestion du développement de Prologis, la plus grande entreprise immobilière du secteur industriel au monde, écrit dans un article de blogue faisant l’analyse de rentabilité des matériaux de construction à faible teneur en carbone : « Le bois massif est plus durable et résilient, il fournit une isolation naturelle et des propriétés biophiles, et son coût est de plus en plus concurrentiel, ce qui en fait une option viable pour la conception industrielle moderne. »

Depuis sa visite dans le premier centre de données en bois massif au monde, en Suède, WoodWorks étudie les paramètres et le potentiel de ce marché, les enjeux liés au respect des codes du bâtiment, les facteurs favorables aux solutions en bois et les défis rencontrés par les constructeurs. Ainsi, WoodWorks soutient désormais plusieurs projets de centres de données aux États-Unis. Certains projets ont entrepris d’intégrer le bois massif, à commencer par les bâtiments administratifs des campus de centres de données.

Les équipes de conception industrielle se tournent de plus en plus vers WoodWorks pour obtenir des conseils sur la conception de panneaux muraux, de systèmes hybrides et de murs de cisaillement en bois massif. Du côté des promoteurs, WoodWorks étend son soutien au-delà de l’ingénierie en contribuant à la création de normes internes, en fournissant des données sur le coût et la performance, et en renforçant la confiance dans les avantages de bois. En tant que conseiller fiable de plusieurs entreprises qui envisagent des solutions en bois à la grandeur des États-Unis, WoodWorks jette les bases d’une adoption à grande échelle par le secteur industriel, en mettant le bois d’œuvre en position de croissance alors que la construction d’entrepôts et de centres de données gagne du terrain à l’échelle nationale.

Reportage de WoodWorks

WoodWorks permet d’accélérer l’utilisation
du bois dans les centres de données et les entrepôts

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Avec l’aide du USDA Forest Service et de WoodWorks, ce plan de maison conçu à partir de panneaux préfabriqués en CLT a été préapprouvé pour la construction rapide et est offert gratuitement aux propriétaires touchés par les feux de forêt à Maui.
Hale Nui Lāʻau | Rendu : Hawaiian Council

Alors que de plus en plus de catastrophes naturelles touchent les collectivités et qu’il y a une demande croissante de logements résilients créés rapidement, la construction en bois, en particulier les systèmes à ossature de bois légère et préfabriqués, offre une avenue qui a fait ses preuves. Le bois d’œuvre est renouvelable, rentable et facilement adaptable à la fabrication modulaire, ce qui en fait un candidat parfait pour les interventions d’urgence et la reconstruction à long terme.

En collaboration avec le USDA Forest Service, WoodWorks dirige les efforts visant à augmenter l’utilisation du bois dans les applications de reconstruction post-catastrophe et de construction modulaire. Ces travaux concernent la création d’un guide technique sur la protection contre les termites, le soutien de la formation sur la conception modulaire et la coordination avec les autorités locales de Maui, à Hawaii, où se poursuivent les efforts de reconstruction après les incendies de 2023.

WoodWorks continue de faire progresser l’innovation en construction modulaire et préfabriquée à l’échelle des États-Unis, de sorte à aider les équipes de conception à surmonter les obstacles liés aux codes et à la résistance au feu pour augmenter la conception modulaire dans le segment multifamilial.

En alliant vitesse, résistance et durabilité, les systèmes modulaires en bois redéfinissent la reconstruction des collectivités, en faisant du bois d’œuvre une solution de premier plan pour la reconstruction post-catastrophe et la croissance urbaine résiliente.

Reportage de WoodWorks

Faire progresser le rôle du bois dans la reconstruction post-catastrophe et les bâtiments modulaires

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Alors que les États-Unis font face à une pénurie de 7,1 millions d’unités d’habitation abordables, la construction en bois ressort comme une solution efficace. Le nouveau document Attainable Housing LookBook de Think Wood illustre le rôle des systèmes à ossature de bois légère et en bois massif dans la réduction de ce fossé, en offrant des délais de construction encore plus rapides aux promoteurs, des coûts réduits et des propriétés biophiles qui améliorent le bien-être des occupants.

Ce LookBook présente sept projets d’habitation abordable qui démontre que le bois peut offrir une conception distinguée, axée sur la communauté et durable. Il contient aussi d’autres ressources de Think Wood et de WoodWorks axées sur la conception et la construction, pour fournir aux architectes, aux ingénieurs et aux constructeurs un guide pratique pour la barémisation des habitations abordables à la grandeur de l’Amérique du Nord.

Conforme au plan stratégique « D’une demande de niche à une demande grand public » du SLB, ce LookBook soutient l’une des plus grandes possibilités de croissance de l’industrie : les projets multifamiliaux d’un à huit étages, qui représentent une demande annuelle potentielle de 977 millions de pieds-planche. En mettant la valeur du bois en évidence (rentabilité, constructibilité et durabilité), ce LookBook répond à un besoin national de logements qui fait progresser la demande de bois d’œuvre à long terme.

REPORTAGE DE THINK WOOD

Le Attainable Housing LookBook fait progresser l’utilisation du bois d’œuvre dans un segment en forte croissance

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Aro Homes | Olson Kundig |
Photo : Matthew Millman

Dans le segment des maisons unifamiliales, les ressources de Think Wood jouent un rôle essentiel dans la protection et la croissance de la demande en bois d’œuvre résineux tout en étendant l’influence du bois dans des secteurs plus vastes. Les études de cas et les récits de conception aident les constructeurs, les architectes et les promoteurs à visualiser le potentiel du bois d’œuvre au-delà de la charpente et des dalles, ce qui renforce sa polyvalence dans les projets résidentiels et commerciaux.

Du contenu récent souligne la portée de ces applications. Un modèle préfabriqué à ossature de bois légère d’Olson Kundig, destiné à la jeune entreprise technologique Aro Homes, démontre que la construction en usine permet de réduire les délais et la teneur en carbone intrinsèque. Un portrait de la CLT House de nArchitects souligne l’utilisation novatrice du bois lamellé-croisé et la beauté du bois exposé, alors qu’une présentation sur cinq maisons en bois au bord de l’eau inspire les constructeurs à relever l’attrait visuel à l’aide de matériaux naturels.

Ces récits permettent à la fois de mobiliser l’auditoire du domaine de la conception et de présenter des résultats mesurables. Lors d’une enquête récente, 72 % des utilisateurs à engagement élevé de Think Wood ont indiqué que la plateforme avait fait accroître leur tendance à choisir le bois, une hausse d’au moins 10 % par rapport à l’année dernière. En créant du contenu intéressant, Think Wood continue de sensibiliser le public au bois d’œuvre, mais aussi de favoriser son adoption et la croissance à long terme de ses marchés.

REPORTAGE DE THINK WOOD

Les ressources de Think Wood dans le segment résidentiel démontrent la polyvalence du bois, et pas seulement dans les maisons

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Brickline Flats | WRNS Studio |
Photo : Jason O’Rear

Deux nouvelles études de cas de Think Wood démontrent que les systèmes de bois permettent de résoudre d’importants défis de conception et de développement tout en proposant des modèles reproductibles pour accélérer l’adoption dans les marchés.

Au complexe Brickline (WRNS Studio, à San Mateo, en Californie), un espace de bureaux en béton est juxtaposé, plutôt que superposé, à une aile résidentielle de cinq étages à ossature de bois légère. Cette approche hybride a permis de conserver deux structures de type III, de construire en parallèle (les charpentiers ont entrepris leurs travaux pendant que la structure de béton était créée), de simplifier la séparation coupe-feu et d’améliorer la performance thermique/acoustique par rapport aux options entièrement en acier ou en béton. Un joint antisismique permet un mouvement indépendant, ce qui augmente la résilience et la constructibilité sur un site restreint axé sur le transport en commun.

Le projet Bucks T-4 Housing (Integrated Design Cubed, à Big Sky, au Montana) démontre l’utilisation à grande échelle de modules en bois massif : 120 modules en CLT dans un bâtiment de 30 000 pieds carrés qui offre un logement à 100 travailleurs, le tout livré en dessous du budget en 11 mois. Les modules usinés et entièrement aménagés ont permis de réduire le coût en pièces et main-d’œuvre, de réduire les délais et d’améliorer la qualité. Il en découle un modèle d’habitations de proximité perfectionné et reproductible qui donne de la dignité aux occupants tout en permettant aux propriétaires d’estimer la rentabilité d’un tel projet.

Ensemble, ces études de cas favorisent un engagement qui mène au choix du bois et mettent en lumière des conceptions en bois novatrices et reproductibles, que les équipes de scénarios pratiques peuvent barémiser d’un marché à l’autre.

REPORTAGE DE THINK WOOD

Des solutions en bois reproductibles
face aux contraintes du monde réel

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Alors que la transparence et les déclarations sur le carbone sont désormais un aspect essentiel du choix des matériaux pour la conception de bâtiments, l’AWC s’affaire à maintenir le caractère concurrentiel et la juste représentation du bois. En faisant progresser la qualité des données, les normes de durabilité et les partenariats, l’AWC positionne l’industrie du bois d’œuvre de sorte à dominer (plutôt qu’à seulement réagir), à mesure qu’évoluent les exigences en matière de durabilité.

Après sa mise à jour des déclarations environnementales de produits (DEP) régionales destinées à l’industrie du bois d’œuvre plus tôt cette année, l’AWC a dévoilé des données qui ont permis d’alimenter les principaux outils d’analyse du cycle de vie, comme l’outil EC3 de Building Transparency et One Click LCA, pour ainsi démontrer les véritables avantages environnementaux du matériau aux spécificateurs. L’organisme dirige également le renouvellement des règles relatives aux catégories de produits (PCR, pour product category rules) en ce qui concerne les produits de bois d’œuvre structuraux et architecturaux, afin de les protéger des propositions trop contraignantes ou désalignées de groupes externes.

En plus de ces données, l’AWC crée des normes importantes en matière de durabilité, comme les normes ASHRAE et ISO 13391, pour maintenir la position juste et favorable du bois quant aux paramètres de performance des bâtiments. La collaboration avec des organismes environnementaux comme The Nature Conservancy et l’Environmental Defense Fund renforce la confiance et engendre un rapprochement à long terme. Elle permet d’assurer qu’avec la hausse des exigences en matière de durabilité, les avantages environnementaux du bois d’œuvre demeurent au premier plan.

REPORTAGE DE L’AWC

Les données et les travaux sur la durabilité
de l’AWC protègent l’accès du bois d’œuvre aux marchés

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Lorsque la campagne « Build With Strength » a été créée il y a dix ans pour empêcher l’inclusion du bois massif dans les I-codes et récupérer la part de marché du béton en s’appuyant sur les incendies de chantier pour remettre en question la sécurité du bois, le SLB a réagi en finançant et en soutenant l’AWC dans l’instauration d’un programme d’engagement avec les services d’incendie. Ce programme vise à établir des liens avec les services d’incendie et à répondre rapidement aux incendies de chantier pour prévenir les attaques injustifiées vis-à-vis des produits de bois d’œuvre.

Grâce à la mise en place de relations durables et à son expertise crédible, l’AWC a transformé un public jadis hostile en partenaire fiable de la sécurité incendie. Aujourd’hui, de grandes organisations de services d’incendie (dont l’International Association of Fire Fighters, l’International Association of Fire Chiefs et la National Association of State Fire Marshals) reconnaissent que le bois massif est conforme aux codes lorsqu’il est dûment autorisé.

L’équipe d’engagement avec les services d’incendie de l’AWC offre des cours et parcourt les États-Unis pour parler de la sécurité incendie sur les chantiers, ce qui a permis de renforcer la confiance du public envers notre industrie. Au troisième trimestre, le personnel de l’AWC a fait une présentation sur la construction en bois massif lors de la Black Chief Officers Conference de Fort Lauderdale, en Floride, donné un atelier sur la sécurité incendie des chantiers lors du congrès annuel de l’International Association of Arson Investigators, en Iowa, et présenté des séances régionales de formation dans l’État de Washington. Ces implications continuent de présenter l’AWC comme un partenaire fiable dans l’éducation et la création de codes sur la sécurité incendie, mais aussi de présenter le bois comme un choix sécuritaire, responsable et visionnaire dans le monde moderne de la construction.

REPORTAGE DE L’AWC

Transformer l’opposition en allié : l’engagement de l’AWC avec les services d’incendie

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Il est essentiel qu’une puissante voix de l’industrie s’investisse dans la création des codes et des normes pour maintenir le caractère concurrentiel du bois d’œuvre, mais aussi l’équité, la sécurité et l’accessibilité des codes du bâtiment à l’échelle des États-Unis. L’AWC représente les intérêts de l’industrie aux plus hauts niveaux; les membres de son personnel siègent à des comités d’importance à l’International Code Council (ICC), à l’ASTM International et à la National Fire Protection Association afin de façonner l’évolution des codes du bâtiment dans l’ensemble du pays.

Comme les codes de l’ICC sont adoptés dans la plupart des localités américaines, un seul petit changement peut grandement influencer l’utilisation du bois dans la construction. Voilà pourquoi l’AWC s’implique à fond dans chaque cycle triennal de création des I-codes, en contribuant aux auditions, aux périodes de rétroaction du public et aux votes. Plus tôt cette année, l’AWC a défendu des dispositions favorisant l’utilisation de plafonds de bois massif entièrement exposés et assuré de nouvelles libertés de conception permettant de réduire le coût des projets.

Cet automne, l’AWC a fait progresser des propositions pour assurer le traitement uniforme des indices de résistance au feu et pour corriger une fausse interprétation coûteuse qui nuit à la construction à plateforme de bois légère. Ces propositions viennent clarifier un processus de conformité en place pour veiller à la continuité du calcul de l’indice de résistance au feu à l’intersection extérieur entre le mur et le plancher, afin d’éliminer les étriers inutiles et le travail qui y est associé. S’ils sont adoptés, ces changements pourraient faire économiser environ 104 millions de dollars par année aux constructeurs dans l’érection de bâtiments multifamiliaux classiques de quatre et cinq étages. Ces économies font du bois un choix encore plus rentable et enviable pour un total estimé de 300 bâtiments par année.

REPORTAGE DE L’AWC

L’AWC assure la place du bois d’œuvre
dans les codes du bâtiment des États-Unis

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