Près des deux tiers du public de Think Wood ont admis que le fait d’interagir avec les ressources de la campagne les a davantage convaincus de choisir le bois pour leurs projets, ce qui prouve la capacité de la campagne à améliorer la perception du bois et le taux de conversion à la construction en bois. Voilà l’une des conclusions principales du sondage annuel sur l’intention de choisir le bois, qui interroge les utilisateurs à deux stades d’engagement (contacts potentiels à faible engagement et clients prioritaires à engagement élevé) quant à leur utilisation actuelle et future de systèmes structuraux en bois.

Le public le plus engagé de Think Wood demeure quant à lui très enclin à utiliser le bois, alors qu’une majorité de répondants indiquent encore une probabilité de 50 % ou de 100 %. Ces résultats suggèrent une corrélation entre un engagement élevé avec Think Wood et une valorisation durable des systèmes en bois. Think Wood continuera d’utiliser les données de ce sondage, en plus des travaux de recherche en cours, pour adapter son offre de contenu aux architectes, aux ingénieurs et aux promoteurs, et ainsi, optimiser l’engagement et le taux de conversion.

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REPORTAGE DE THINK WOOD

Une campagne de Think Wood permet d’augmenter la probabilité d’utiliser le bois

Les ressources et les profils mettant en vedette des habitations unifamiliales à ossature de bois légère continuent de mobiliser fortement les secteurs commercial et résidentiel. En mai se déroulait le lancement du Single-Family Home LookBook, qui présente les images et les plans d’étages détaillés de sept projets résidentiels. Rapidement devenu le contenu le plus attrayant du deuxième trimestre, ce document de 80 pages met en valeur des applications novatrices du bois d’œuvre résineux (au-delà de l’ossature), ce qui démontre que même dans un marché dominé par le bois, il est encore possible d’utiliser ce matériau dans la décoration, les revêtements et les terrasses. De plus, deux profils résidentiels du bulletin de Think Wood ont suscité un engagement élevé : un refuge bucolique du nom de The Buchanan Riverhouse et le projet carboneutre de Cross Cabin.

Think Wood continue d’optimiser sa série de courriels d’accueil destinés aux entrepreneurs résidentiels, augmentant son taux d’ouverture de 5 % ce trimestre et attirant l’attention de ce public toujours en mouvement et difficile à atteindre grâce à du contenu sur l’utilisation novatrice du bois dans des habitations unifamiliales.

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REPORTAGE DE THINK WOOD

Des ressources et des profils de projets significatifs pour le segment unifamilial favorisent l’engagement du secteur résidentiel

Le marché des bureaux/banques représente encore l’une des plus grandes possibilités de croissance pour le marché du bois, alors que le secteur offre un potentiel de volume additionnel de 345 à 413 millions de pieds-planche de bois d’ici 2035, selon les prévisions de Forest Economic Advisors (FEA) pour le SLB aux États-Unis en 2024. Une nouvelle vidéo et un nouveau webinaire de Think Wood continuent de renseigner les architectes, les ingénieurs et le promoteurs sur les avantages du bois dans la construction de bureaux, en mettant l’accent sur l’expérience enrichie des occupants, la durabilité et la valeur des projets grâce à du contenu visuellement captivant.

La vidéo présente les projets de bureaux en bois massif T3 ATX Eastside et Houston Endowment Headquarters, alors que les équipes de conception et de promotion exposent leurs perspectives sur l’utilisation du bois pour rehausser leurs travaux.

En plus de cette vidéo, le webinaire « Mass Timber as a Solution for Commercial Offices », parrainé par Think Wood, présentait trois architectes de premier plan traitant du recours aux systèmes novateurs en bois dans les projets commerciaux. L’événement a attiré plus de 700 participants; ces contacts de vente ont par ailleurs reçu des ressources complémentaires de Think Wood et de WoodWorks.

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REPORTAGE DE THINK WOOD

Un vidéo et un webinaire soulignent le potentiel du bois dans le marché très prometteur des bureaux

WoodWorks mène des efforts pour souligner les avantages du bois en matière de carbone intrinsèque par l’entremise des analyses du cycle de vie pour l’ensemble du bâtiment, un outil essentiel qui permet de comparer l’impact de différents matériaux de construction sur l’environnement. En collaborant étroitement avec les équipes de conception et en offrant des conseils sur les pratiques liées à ces analyses, WoodWorks s’assure que ces dernières représentent correctement les avantages du bois en matière de carbone.

WoodWorks s’emploie par ailleurs à élaborer ses propres études sur l’évaluation du cycle de vie en compagnie de KL&A, qui compareront la construction en bois à d’autres matériaux. Les partenaires ont terminé l’introduction de la série et la première étude sur le projet Return to Form, un bâtiment multifamilial en bois massif de douze étages, et préparent trois autres études. Cette série vise à donner la permission aux équipes de projet de travailler avec le bois, la conviction que la construction en bois issu de forêts aménagées selon des principes durables a des effets positifs (souvent considérables) sur le carbone. Les études s’attaquent aux préoccupations des concepteurs et leur assurent que la conception en bois est une option durable qui bénéficie à l’environnement.

En plus de ces travaux, WoodWorks a rencontré des fournisseurs de logiciels, notamment Building Transparency (EC3 et TallyLCA), One Click LCA et Athena Sustainable Materials pour comprendre comment les données de l’industrie du bois sont intégrées dans ses jeux de données et utilisées par la communauté des architectes, ingénieurs et entrepreneurs. Il faut s’assurer que ces outils reflètent exactement les données sur l’empreinte carbone du bois afin d’effectuer des comparaisons justes avec d’autres matériaux dans les analyses du cycle de vie pour l’ensemble du bâtiment.

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REPORTAGE DE WOODWORKS

Des données sur le cycle de vie plaident en faveur de la durabilité des systèmes structuraux en bois

La construction en bois massif s’est découvert un champion dans un segment inattendu : les ferronniers. WoodWorks a confié neuf maquettes de formation sur l’installation de systèmes en bois massif aux ferronniers du sud de la Californie, du Nevada, de l’Arizona, de Seattle et de la ville de New York, et prévoit d’élargir son offre à plus de vingt endroits aux États-Unis. Le groupe organise un programme complet de formation en ce sens, que le directeur du programme de gestion de la construction de WoodWorks devrait présenter en octobre lors de l’activité inaugurale de formation des formateurs au centre national de formation du Ironworkers National Training Fund (NTF). Les ferronniers exigent désormais que les centres régionaux de formation engagent des instructeurs formés dans le cadre de ce programme. Dans les régions, les cours devraient commencer à la fin de 2024 ou au début de 2025, soit après la formation des instructeurs.

Les maquettes en cours d’élaboration s’ajouteront au réseau croissant de centres de formation à l’échelle nationale, en plus de celles destinées aux charpentiers, aux universités associées et aux fabricants de quincaillerie. Jusqu’ici, 1 300 participants ont effectué 24 000 heures de formation sur l’installation, ce qui contribue à éliminer un obstacle courant à la construction en bois massif en veillant à ce que les entrepreneurs généraux et leurs sous-traitants soient à l’aise de travailler avec ce matériau.

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REPORTAGE DE WOODWORKS

Les ferronniers adoptent la formation de WoodWorks sur la construction en bois massif

La demande croissante d’établissements d’enseignement constitue une occasion importante pour l’industrie du bois d’œuvre, soit un marché potentiel de 1,7 milliard de pieds-planche, selon les prévisions préparées pour le SLB par Forest Economic Advisors. WoodWorks a soutenu 169 projets d’écoles depuis 2015 et constaté un virage notable vers le bois massif depuis quelques années. De 2021 à 2024, environ 80 % des projets déclarés comptaient du bois massif, dont plusieurs projets d’universités.

Malgré des obstacles comme des contraintes budgétaires et des préoccupations subjectives quant à la durabilité, la pression en faveur du développement durable, de l’esthétique et de la biophilie continue d’encourager l’adoption du bois massif dans les écoles, alors que le coût est un sérieux avantage pour les écoles à ossature de bois légère. Le secteur connaît un fort départ en 2024, puisque 14 projets sont déjà en branle, ce qui indique une croissance stable et des possibilités pour l’industrie du bois d’œuvre. Cette tendance prometteuse d’expansion du marché est démontrée par le projet gagnant de la compétition sur le bois massif : Evergreen Charter School. Doté d’éléments de conception biophile, ce projet d’établissement d’enseignement à ossature hybride en CLT de 85 000 pieds carrés devrait être achevé en 2024.

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REPORTAGE DE WOODWORKS

WoodWorks explore des débouchés pour le bois dans la construction de nouvelles écoles

En s’appuyant sur la commandite d’un studio de conception amorcée en 2023, la division de l’éducation du SLB intègre la formation sur le bois au programme des écoles d’architecture en finançant des voyages d’études et des expériences pratiques qui soulignent les avantages de la conception en bois.

Dans le cours « Time for Timber » de l’école d’architecture de la University of Texas at Austin, les étudiants ont construit des prototypes à échelle réelle de systèmes structuraux pour un projet concret en bois d’œuvre résineux. Ce faisant, ils ont acquis une meilleure compréhension des défis de la constructibilité et de l’assemblage d’éléments dans le monde réel. La division de l’éducation du SLB a aussi parrainé le voyage d’études d’un studio de conception du Keene State College dans une scierie du New Hampshire. L’instructeur du cours, Randall Walter, dirige l’équipe du projet Up@310 Lofts, gagnant de la compétition sur le bois massif 2023. D’autres commandites de studio sont prévues pour la session d’automne de la Texas A&M University et de la Rice University.

La division de l’éducation du SLB transporte aussi la formation sur le bois dans les salles de cours postsecondaires en élaborant une application de réalité virtuelle préinstallée sur de l’équipement de pointe, puis prêtée aux professeurs d’architecture et d’ingénierie. Pendant les cours, les étudiants peuvent s’en servir pour s’immerger dans la reconstitution virtuelle d’un véritable bâtiment en bois massif. L’expérience virtuelle est un moyen idéal de donner vie à du contenu technique très détaillé, le tout accompagné d’éléments narratifs. En plus des commandites de studio, la division de l’éducation du SLB prépare les étudiants aux défis architecturaux modernes et cultive une génération d’architectes passionnés par les solutions en bois.

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REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION DU SLB

Des commandites du SLB transportent littéralement et virtuellement le bois dans la salle de classe

Le Wood Institute a connu une croissance remarquable au deuxième trimestre, alors qu’elle a étendu sa portée au secteur secondaire, comme celui des entrepreneurs généraux, sans perdre sa grande priorité de vue, soit les architectes, les concepteurs et les ingénieurs. Grâce à du contenu de plus en plus ciblé et adapté à leurs besoins, plus d’entrepreneurs ont créé leur compte au deuxième trimestre que lors de tout autre trimestre. Par exemple, un cours axé sur la construction, « Safeguarding Buildings During Construction: Fire & Life Safety Best Practices », s’est hissé parmi les cinq cours les plus populaires du Wood Institute ce trimestre. En plus de sa croissance enregistrée auprès des entrepreneurs, le Wood Institute maintient un engagement solide envers ses principaux groupes d’utilisateurs.

De plus, le Wood Institute a bien réparti ses cours dans l’ensemble de l’année : pour réduire le pic abrupt du quatrième trimestre, il a augmenté sa productivité du premier au troisième trimestre. Cette approche stratégique lui a non seulement permis d’élargir son public, mais aussi d’augmenter son efficacité globale tout au long de l’année. La capacité du Wood Institute à accroître son public du secteur secondaire tout en maintenant son engagement principal et en équilibrant la répartition de ses cours témoigne d’une stratégie de gestion réfléchie et efficace, ce qui en fait une ressource de premier plan pour les professionnels de la conception et de la construction.

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REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION

La division de l’éducation génère une croissance exceptionnelle pour le Wood Institute

Le SLB augmente son incidence sur l’industrie de la construction en investissant dans la formation sur le bois, qui s’adresse à la prochaine génération d’architectes, d’ingénieurs et d’entrepreneurs. Même si l’intégration accrue de bois d’œuvre dans notre environnement bâti se produit concrètement sur les sites de construction, elle commence dans les salles de cours, où la formation sur la conception en bois est souvent absente. Selon une enquête du SLB, près de 60 % des programmes postsecondaires offrent peu ou pas de formation sur les systèmes en bois, car il y a très peu de professeurs qualifiés en cette matière. Pour combler ce manque, le SLB, avec l’aide du U.S. Endowment for Forestry and Communities, a lancé une série d’ateliers de perfectionnement des professeurs axée sur le bois.

Fort du succès de ses trois ateliers de 2023, le SLB est passé à cinq ateliers en 2024, y compris des séances aux universités Oregon State, Clemson, Auburn et Michigan State, en plus d’une dernière prévue à Cal Poly Pomona plus tard cette année. Jusqu’ici, les 80 membres du corps professoral de 60 écoles qui y ont participé en ont retiré un savoir et un enthousiasme accrus quant aux solutions en bois. Ces ateliers immersifs de trois jours apportent une expérience concrète de la foresterie, mais aussi de la conception et de la construction en bois aux professeurs, de sorte à combler l’écart entre la théorie et la pratique. D’ici la fin de 2025, le SLB aura formé près de 300 nouveaux professeurs et possiblement atteint 6 % de tous les professeurs d’architecture et d’ingénierie aux États-Unis, ce qui donnera un solide coup de pouce à la formation sur la conception en bois dans tous le pays. Les chefs de file de l’industrie qui agissent actuellement comme conseillers ou formateurs dans des établissements postsecondaires sont encouragés à communiquer avec le directeur de la division de l’éducation du SLB, Reed Kelterborn, à l’adresse rkelterborn@softwoodlumberboard.org afin de coordonner nos efforts.

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REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION

De nouveaux ateliers destinés aux professeurs stimulent la formation sur le bois à l’échelle nationale

L’AWC a lancé une application qui permet de développer les marchés tout en améliorant la sécurité incendie sur les chantiers. L’application Construction Fire Safety Checklist (CFS Checklist), conçue en collaboration avec la Construction Fire Safety Coalition, propose une liste de vérification complète et conforme à l’International Fire Code de 2021. Cet outil soutient les constructeurs et les inspecteurs en encourageant les pratiques sécuritaires de construction et en veillant au respect du code.

En réduisant les incendies, l’application permet d’atténuer la peut liée à la résistance au feu des bâtiments en bois et crée des possibilités d’expansion des marchés. Son interface conviviale favorise la détection proactive des risques, ce qui bénéficie aux inspecteurs des incendies, aux inspecteurs en bâtiment et aux directeurs des travaux.

Dans son premier mois, grâce à une campagne de publicité numérique particulièrement destinée aux professionnels de la sécurité incendie et du bâtiment, l’application a enregistré plus de 600 téléchargements. Offerte sur les appareils Apple et Android, l’appli CFS Checklist est accessible dans les boutiques Apple et Google Play, apportant une solution simple et partageable au maintien de la sécurité des chantiers.

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REPORTAGE DE L’AWC

Une application de liste de vérification de la sécurité incendie des bâtiments pour protéger la réputation du bois

L’AWC continue de nourrir la base de données de l’industrie du bois d’œuvre sur l’environnement grâce aux analyses complètes du cycle de vie et à la création de déclarations environnementales de produits (DEP). Grâce à une subvention de six millions de dollars de l’Environmental Protection Agency, financée par l’Inflation Reduction Act, l’AWC ajoute à la transparence de l’industrie et aux données sur la teneur en carbone des produits de bois d’œuvre. Sur une période de cinq ans, cette subvention soutiendra des projets comme un générateur de DPE, le financement de scieries pour la création de DPE et des programmes de formation sur les analyses du cycle de vie pour l’ensemble du bâtiment.

Les efforts soutenus de l’AWC, dont l’enquête annuelle sur le cycle de vie, permettent d’assurer que l’industrie du bois d’œuvre fournit les données sur la durabilité nécessaires à l’industrie de la conception pour choisir des matériaux. Amorcée le 1er août, l’enquête de cette année est désormais accessible aux entreprises et aux scieries qui ne sont pas membres de l’AWC, ce grâce à une bourse d’innovation sur le bois du USDA Forest Service. L’enquête élargie vise à alimenter les données environnementales de l’industrie et à produire des DPE régionales pour les produits structuraux en bois, de sorte à répondre aux besoins croissants des marchés et des autorités réglementaires de rapports transparents sur le rendement environnemental du bois.

L’AWC encourage toutes les scieries américaines à y participer, car leurs contributions nourrissent directement l’engagement de l’industrie à l’utilisation de matériaux à faible teneur en carbone et à la transparence des données. L’AWC a produit un tutoriel vidéo qui accompagne le répondant dans chaque section de l’enquête et lui explique les mises à jour de cette année. Pour y participer, communiquez avec Anna Ostrander à l’adresse aostrander@awc.org.

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REPORTAGE DE L’AWC

Une subvention de 6 M$ de l’EPA pour alimenter les données environnementales de l’industrie

L’AWC a fait des progrès considérables lors d’une audience récente auprès de l’International Code Council à Orlando, où elle a présenté d’importantes propositions pour protéger et stimuler l’utilisation du bois dans les codes du bâtiment. Le comité a notamment approuvé l’intégration de la nouvelle prénorme Fire Design Specification (FDS) for Wood Construction de 2024 aux normes de résistance au feu relatives aux assemblages en bois. Des 31 possibilités relevées pour l’industrie du bois d’œuvre, vingt ont été approuvées (65 %), alors que 28 des 29 propositions jugées menaçantes pour les marchés du bois ont été rejetées, modifiées ou retirées (97 %).

Les recommandations d’intérêt comprennent l’approbation d’une proposition de l’AWC visant à clarifier la continuité de l’indice de résistance au feu pour la construction de plateformes à ossature de bois et à revoir les critères de protection du bois massif. De plus, l’approbation d’une nouvelle terminologie pour les catégories de construction décrites dans les codes sur les milieux périurbains a permis de préciser les critères imposés aux matériaux selon la gravité du risque d’incendie. L’AWC poursuivra son plaidoyer lors d’une deuxième audience prévue en octobre.

Entre-temps, l’adoption du code sur le bois massif continue de s’élargir grâce au soutien de la division de l’éducation de l’AWC. En date du deuxième trimestre, 34 États ont adopté ou sont en voie d’adopter les dispositions sur le bois massif de l’International Building Code (IBC) de 2021, alors que le Minnesota s’apprête à adopter l’IBC de 2024 sous les conseils de l’AWC. La portée de l’AWC dans les États comme le Colorado, l’Ohio, et la Géorgie renforce la présence du bois massif dans les codes du bâtiment du pays. En outre, les travaux d’éducation menés par l’AWC auprès des professionnels des codes en Floride favorisent l’utilisation du Florida Mass Timber AMM Guide comme ressource dans l’approbation de nouveaux types de bâtiments en bois massif selon un autre processus de détermination des matériaux et des méthodes utilisés.

« L’AMM Guide est une ressource destinée aux professionnels des codes et aux concepteurs, qui démontre les efforts résolus de l’AWC à faciliter l’ouverture des professionnels des codes et l’approbation de nouveaux types de bâtiments en bois massif conformes aux I-codes de 2024 », précise Phil Line, vice-président des Codes et règlements de l’AWC.

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REPORTAGE DE L’AWC

Les succès des codes du bâtiment protègent et stimulent l’utilisation du bois dans les maisons et les édifices