L’équipe de l’AWC a rédigé des sections du nouveau code sur les milieux périurbains de la Californie (CA WUIC), récemment approuvé par le Building, Fire and Other Code Advisory Committee (Comité consultatif sur le bâtiment, les incendies et les autres codes) de la California Building Standards Commission (Commission californienne des normes de construction). Dans son nouveau code, le comité comptant des employés de l’AWC à titre de président et de membres a retenu des exigences favorables à l’utilisation du bois dans les applications extérieures, comme les revêtements et les produits de terrasse. L’ébauche du code sera ensuite soumise à l’examen final de la California Building Standards Commission.

Les incendies de forêt récents ont incité plusieurs territoires à envisager des critères de plus en plus restrictifs pour la construction de bâtiments. La contribution de l’AWC au processus d’élaboration du CA WUIC a permis de prévenir une utilisation plus restrictive de matériaux de revêtement extérieur résistants à la combustion ou non combustibles dans les milieux périurbains, et de protéger 20 millions de pieds-planche du marché des revêtements en bois, selon l’estimation de FEA.

L’AWC participe aussi activement à l’élaboration de la norme ICC-605, un nouveau document axé sur la construction résidentielle dans les milieux périurbains, qui renvoie aux résultats des essais de l’AWC pour soutenir le recours aux techniques de résistance au feu dans la construction de bâtiments dans ces milieux.

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REPORTAGE DE L’AWC

Le nouveau code sur les milieux périurbains de la Californie retient des exigences favorables au bois

L’AWC a dévoilé trois des quatre déclarations environnementales de produits (DEP) régionales destinées à l’industrie américaine du bois d’œuvre résineux. C’est la première fois que l’industrie rédige et publie des DEP régionales, les précédentes ayant une portée nord-américaine. Ces nouvelles DEP touchent les régions de la côte du Pacifique, du nord-ouest continental et du sud des États-Unis. D’autres données d’usines sont requises pour compléter une quatrième DEP destinée à la région du Nord/Nord-est, attendue au début de l’année prochaine.

Les nouvelles DEP constituent la réponse de l’AWC et de l’industrie des produits de bois d’œuvre aux demandes répétées de données granulaires supplémentaires. L’industrie de la conception s’appuie sur les DEP pour favoriser la réduction des émissions de carbone : elle compare l’incidence de différents matériaux et produits afin de choisir la solution la plus durable. Alors que les consommateurs, les organismes de réglementation, et la communauté des architectes, ingénieurs et entrepreneurs réclamaient DEP spécifiques et localisées, l’AWC a ajouté des usines sur sa plateforme de collecte de données pour s’assurer que l’industrie réponde à la demande des marchés et maintienne son engagement de transparence radicale.

« Ces DEP régionales changent la donne pour notre industrie et démontrent la réactivité du secteur à la demande des marchés », estime Rachael Jamison, vice-présidente, Marchés et durabilité de l’AWC. « Elles répondent directement à l’intérêt croissant des consommateurs et des organismes de réglementation pour des données sur l’incidence des produits de bois d’œuvre américains sur l’environnement et démontrent l’engagement de transparence radicale de cette industrie. En somme, toute l’industrie américaine des produits de bois d’œuvre devrait être fière de ces nouvelles DEP. »

Les nouvelles DEP sont accessibles sur le site Web de l’AWC. L’enquête annuelle sur le cycle de vie est ouverte à tous les investisseurs du SLB pour la collecte de données de l’exercice de 2023. Pour obtenir de l’aide, communiquez avec Anna Ostrander (aostrander@awc.org).

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REPORTAGE DE L’AWC

L’AWC publie de nouvelles DEP régionales pour répondre à la demande des marchés en matière de données sur la durabilité

Chaque année, pour clôturer l’Assemblée générale des Nations Unies, la ville de New York entame sa Climate Week, une semaine où se tiennent des centaines d’événements axés sur le climat et la durabilité aux quatre coins de la ville. Le thème de cette année, It’s Time (Le temps est venu), soulignait l’urgence de mesures en faveur du climat, en particulier dans les secteurs de l’énergie, de l’environnement bâti et des finances.

Cette année, l’American Wood Council (AWC) et WoodWorks co-organisaient leur tout premier événement de la Climate Week : Building with Wood: Nature’s Climate Solution (La construction en bois : une solution naturelle aux changements climatiques). Cet événement, qui comprenait une introduction au bois massif et une discussion entre experts sur l’ensemble du cycle de vie de ce matériau, s’est conclu par une soirée de réseautage. La discussion était animée par Katie Fernholz, présidente de Dovetail Partners; Alexis Feitel, directrice de l’équipe carbone de KL&A Engineers and Builders et Sandra Lupien, directrice de MassTimber@MSU.

L’événement s’est avéré un succès : 80 personnes étaient sur place, alors que d’autres y ont participé en ligne. Cet événement est un exemple du rôle principal de l’AWC de veiller à la juste reconnaissance des produits de bois d’œuvre pour leur faible teneur en carbone intrinsèque et leurs importantes propriétés de stockage de carbone biogène.

Building with Wood était l’un des nombreux événements de la Climate Week axés sur les bienfaits des produits de bois d’œuvre sur le climat. Plus tôt dans la journée, au même endroit, la New York City Economic Development Corporation (NYCEDC) tenait les présentations finales des sept équipes de la première édition du programme Mass Timber Studio, financé par le SLB et le USDA Forest Service. De plus, la NYCEDC a confirmé son intention de déployer une deuxième cohorte d’équipes, qui recevront chacune une bourse de 29 000 $ en 2025, aussi financé en partie par les deux organismes.

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REPORTAGE DE L’AWC

Les produits de bois d’œuvre, sujet de l’heure de la Climate Week NYC

Un récent webinaire de Think Wood, Mass Timber 2030: Preparing Your Practice (Bois massif 2030 : préparer sa pratique) a jeté une lumière inédite sur le thème de la conception en bois massif en réunissant trois étapes distinctes d’un projet dans un groupe de discussion animé par la directrice de Think Wood, Katie Gerfen.

Ce webinaire, destiné aux architectes intéressés par l’utilisation du bois massif, préparait le public quant à la façon de répondre aux questions d’autres professionnels de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction, qui pourraient décourager ce choix. Apprenez-en plus sur les conférenciers dans le diaporama complémentaire.

Après la présentation du webinaire devant des architectes des 26 plus grandes firmes d’architectes, ingénieurs et entrepreneurs aux États-Unis, Think Wood se servira d’une version sur demande de la séance pour fidéliser des clients potentiels et poursuivre son enseignement au Wood Institute et avec ses partenaires médiatiques, ce qui lui permettra d’inciter davantage ces clients à adopter le bois et de générer de nouveaux contacts à éduquer et informer.

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REPORTAGE DE THINK WOOD

Un webinaire explore le bois massif
du point de vue des promoteurs,
des architectes et des ingénieurs

Le secteur de l’éducation représente une possibilité intéressante pour l’industrie du bois d’œuvre, soit un marché annuel potentiel de 1,7 milliard de pieds-planche d’ici 2035 si toutes les écoles étaient faites de bois, selon les prévisions préparées pour le SLB par Forest Economic Advisors. Ce volume accru proviendrait d’une combinaison de bâtiments à ossature de bois légère, en bois massif et hybrides en acier et en bois massif. Les architectes, les ingénieurs et les entrepreneurs généraux portent aussi attention à cette possibilité. Dans ses prévisions de mi-année sur la construction, l’American Institute of Architects estime que le marché institutionnel (et l’éducation, en particulier) permettra d’équilibrer le somme toute faible marché commercial, grâce à une hausse projetée de 11 % cette année et de 4 % l’année prochaine.

Tout au long de l’année, Think Wood a mis de l’avant des établissements d’enseignement novateurs composés de systèmes à ossature de bois légère et en bois massif, alors qu’un récent article énumère plusieurs projets et ressources notables axés sur le segment de l’enseignement de la maternelle à la douzième année.

« La création d’écoles saines et durables du 21e siècle commence par l’utilisation des bons matériaux, et alors que les commissions scolaires fixent des objectifs ambitieux de durabilité, la construction en bois présente de nouvelles possibilités », soutient l’auteur de l’article. « En plus de réduire leur empreinte carbone, la conception et la construction d’écoles modernes en bois placent le bien-être des occupants au premier plan et limitent les coûts pour créer des espaces chaleureux axés sur l’apprentissage. »

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REPORTAGE DE THINK WOOD

Think Wood met les avantages du bois en valeur dans le secteur en forte croissance de l’enseignement de la maternelle à la douzième année

Dernièrement, un profil de projet de Think Wood, a braqué les projecteurs sur un type de construction méconnu : la construction de moyenne hauteur à ossature de bois légère. Le projet LC Germantown de Lifestyle Communities à Nashville, au Tennessee, est un complexe à usage mixte de 4,5 acres et 450 000 pieds carrés, composé d’édifices de quatre à six étages. Son promoteur espérait créer un environnement qui attire les locataires par son paysage de rue propice à la marche, qui fait un clin d’œil à des quartiers historiques et produit une impression indéniablement urbaine. La réalisation de cet objectif par la communauté lui a valu le titre de « Communauté de l’année » de la National Association of Home Builders lors de l’édition 2024 de son gala Best in American Living Awards.

Dans ce reportage, l’angle unique de Think Wood’s démontre le rôle primordial de la préfabrication hors site et de l’ossature de bois légère pour assurer la rapidité et l’abordabilité du processus de construction, où le promoteur n’a pas eu à sacrifier le caractère unique qu’il espérait obtenir.

« Pour LC Germantown, nous voulions adopter une nouvelle approche, en divisant le complexe en plusieurs bâtiments aux tailles et aux configurations diverses, afin de lui conférer une présence animée et communautaire empreinte de patrimoine », explique Mike Sullivan, concepteur principal de LRK, l’entreprise de Memphis qui a conçu le complexe. « Nous avons probablement économisé des mois grâce à cette méthode simplifiée à ossature de bois légère. Tout se déroule rapidement quand tous les matériaux sont devant vous, prêts à l’emploi. »

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REPORTAGE DE THINK WOOD

Une campagne vante la construction préfabriquée à ossature de bois légère aux promoteurs de bâtiments multifamiliaux

Les projets d’entrepôts et d’usines ont connu un essor en 2021 et 2022, grâce à la législation sur le commerce électronique et les infrastructures, notamment la Bipartisan Infrastructure Law (loi bipartite sur les infrastructures). En 2023, plusieurs détaillants en ligne ont réduit leur volume de nouvelle construction, malgré tout, les 4 159 projets de cette catégorie la plaçaient au deuxième rang (derrière la construction multifamiliale) aux États-Unis. Bien que le code ne permette pas de bâtir toutes ces installations en bois, il le permet pour un nombre considérable d’entre elles. Le défi, c’est le coût des projets. En raison de leur maturité dans ce domaine, les systèmes en béton et en acier sont très optimisés, ce qui produit des structures peu dispendieuses. Si l’importance croissante de la carboneutralité ouvre la voie à l’intégration de systèmes en bois et de structures hybrides, des projets récents indiquent toutefois qu’une meilleure compréhension des avantages environnementaux et économiques du bois est nécessaire pour que les propriétaires envisagent de débourser davantage. L’équipe de WoodWorks continue de repérer et de soutenir des projets tout en poursuivant ses recherches sur les solutions en bois au bon rapport coût-efficacité et leur empreinte carbone.

En s’appuyant sur cette sensibilisation, que le programme continue de faire grandir par l’entremise du WoodWorks Innovation Network (WIN), des études de cas et d’autres formes d’éducation, WoodWorks souhaite inciter les entreprises à atteindre les objectifs liés à l’environnement et à la carboneutralité, en plus d’offrir un soutien qui leur permet à tous deux de créer des solutions en bois au bon rapport coût-efficacité et de vanter les avantages du bois à d’autres. WoodWorks a publié des études de cas sur le fabricant de produits aérospatiaux Janicki Industries’ Building 10 et sur EGGER Wood Products Production Facility, alors que le WIN comprend plus de 20 projets de la catégorie usine/bâtiment industriel.

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REPORTAGE DE WOODWORKS

Une analyse des tendances du marché justifie le soutien des projets d’entrepôts et d’usines

WoodWorks a récemment organisé la visite d’une usine qui utiliser la modélisation tridimensionnelle pour fabriquer des panneaux muraux et des poutrelles à ossature de bois légère, puis la visite d’un grand projet d’habitation abordable qui s’appuie sur de tels panneaux. Les billets se sont écoulés quelques jours après l’invitation, ce qui indique que la communauté de la conception souhaite visiter des projets en bois massif, mais aussi des usines et des chantiers de systèmes à ossature de bois légère.

Le fabricant visité se nomme Huron Components, une filiale de DL Cohen Construction Company établie à Littleton, au Colorado, qui fournit l’ossature au complexe Green Valley Ranch de Denver. Ce complexe se compose de neuf immeubles d’appartements-jardins de trois étages. Les conférenciers, notamment WoodWorks, DL Cohen, Huron et l’APA – The Engineered Wood Association, ont présenté leur point de vue quant aux avantages de la panélisation à ossature de bois légère, dont les économies de coût et de temps, la sécurité des travailleurs et le contrôle de la qualité.

La construction à ossature de bois légère est aussi un sujet populaire dans les dîners-conférences des clients intéressés à créer des projets de plus en plus imposants selon à cette approche. WoodWorks a obtenu du succès avec sa série en trois parties sur les murs extérieurs de type III, les murs intérieurs de type III et les murs de puits. Cette approche devrait encourager les équipes de conception à s’orienter plus rapidement vers des modèles encore plus imposants. Une firme d’architecture de l’Utah, qui a entrepris la série au troisième trimestre, nous a ensuite écrit pour dire que c’était « le dîner-conférence le plus éducatif auquel nous ayons assisté ».

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REPORTAGE DE WOODWORKS

WoodWorks renforce l’intérêt croissant pour
la construction à ossature de bois légère

WoodWorks continue de se présenter comme un éducateur bien informé, non seulement sur la façon d’ériger des bâtiments à faible teneur de carbone intrinsèque, mais aussi sur les politiques du carbone qui ont une incidence sur les professionnels de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction et pourraient stimuler l’utilisation du bois.

En juillet, l’organisme a organisé un atelier pour aider la communauté des concepteurs à mieux comprendre les nouvelles dispositions sur le carbone intrinsèque du California Green Building Standards Code (code du bâtiment écologique de la Californie, ou CALGreen).  Bien que le CALGreen soit en vigueur depuis 2007, il se concentre surtout sur l’efficacité énergétique opérationnelle. Or, depuis le 1er juillet 2024, de nouvelles exigences relatives au carbone intrinsèque sont imposées aux bâtiments de plus de 100 000 pieds carrés.

L’un des processus de conformité consiste en une réduction de 10 % du potentiel de réchauffement climatique, démontrée par une analyse comparative du cycle de vie pour l’ensemble du bâtiment. C’est un domaine où le bois excelle; grâce à sa bibliothèque d’analyses comparatives et d’autres ressources liées au carbone, WoodWorks peut aider les architectes, les ingénieurs et les constructeurs à répondre à cette nouvelle exigence. Même si l’événement était surtout annoncé dans l’ouest, 51 % des 313 inscriptions provenaient de l’extérieur de la Californie, car les gens veulent comprendre les changements qui pourraient un jour concerner leur région.

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REPORTAGE DE WOODWORKS

L’enseignement de WoodWorks sur les nouvelles politiques du carbone démontre l’excellence du bois

Le SLB a parrainé l’événement Hack-A-House pour offrir aux étudiants un moyen novateur et rapide d’explorer des solutions en bois à l’enjeu d’abordabilité du logement. Quatre-vingts équipes, composées de 381 étudiants de 67 écoles, ont collaboré avec leurs pairs et des experts de l’industrie pour s’attaquer aux défis du logement lors d’un « marathon de solutions » de 24 heures, en présentant des idées axées sur les méthodes et les matériaux de construction novateurs, dont le bois massif.

Lors d’une présentation au Ivory Prize Housing Innovation Summit, tenu par la Harvard Graduate School of Design, l’équipe récipiendaire du grand prix, formée d’Ole Seidler, de Sepideh Farnia, d’Otis Klingbeil et de Reily Gibson du programme de développement immobilier et de conception de la University of California à Berkeley, a proposé un modèle coopératif du bois massif où les propriétaires forestiers, les scieries et les constructeurs investissent conjointement dans une usine de production du Michigan pour diversifier leur investissement en capital, réduire le risque et augmenter l’offre.

Comme l’initiative Hack-A-House était ouverte à plusieurs disciplines, dont l’architecture, l’ingénierie, la construction, les affaires et la politique publique, la division de l’éducation du SLB a pu mobiliser un public diversifié d’étudiants. Cette commandite lui a aussi permis de créer des liens avec un réseau élargi d’écoles, notamment les prestigieux programmes de Berkeley, du Joint Center for Housing Studies de la Harvard University et du Graduate School of Architecture, Planning and Preservation de la Columbia University.

« Pendant l’événement Hack-A-House, nous avons aimé en apprendre sur la possibilité d’augmenter l’offre de bois massif aux États-Unis et de militer pour son adoption », confie l’équipe de Berkeley au SLB. « C’était passionnant d’explorer les avantages de la construction en bois massif, d’imaginer des façons novatrices d’améliorer l’offre régionale et de rencontrer tant de personnes et d’entreprises inspirantes qui travaillent déjà dans ce domaine. »

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REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION DU SLB

Le SLB aide les futurs professionnels de l’immobilier à imaginer une solution transformatrice au logement

L’événement « TIMBER IN THE CITY 5: Urban Habitats Competition » (TIMBER IN THE CITY 5 : la compétition des habitats urbains), parrainé par le SLB et présenté par l’Association of Collegiate Schools of Architecture (ACSA), définit un programme transformateur pour l’avenir du développement urbain. La compétition invitait les étudiants en architecture de partout aux États-Unis à réfléchir ingénieusement à l’intégration du bois dans l’environnement bâti urbain, grâce à un thème axé sur l’augmentation de la densité au moyen d’extensions verticales ou de superpositions novatrices en bois massif, installées au sommet d’infrastructures ou de bâtiments existants.

Cet objectif a trouvé écho chez la cohorte actuelle d’étudiants, alors que 654 étudiants de 46 écoles d’architecture ont soumis 159 propositions novatrices pour répondre à la demande de logements urbains tout en tenant compte de l’abordabilité et de la durabilité. Parmi les cinq gagnants et les deux mentions honorables, figure MAXX TIMBER: Between Home and Forest (en photo), une soumission d’élèves en architecture de la Columbia University, qui tient compte de l’abordabilité et de la durabilité en ajoutant des extensions verticales en bois massif sur un campus de la New York City Housing Authority, au centre-ville de Brooklyn.

Le SLB veut continuer à encourager l’innovation étudiante en collaborant avec des organisations universitaires d’importance et offrir une solution complémentaire intéressante aux programmes en place, comme la compétition sur la maçonnerie en béton et la compétition sur l’acier. En cinq éditions depuis 2014, la compétition TIMBER IN THE CITY a attiré 3 475 participants de la communauté étudiante.

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REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION

La compétition TIMBER IN THE CITY du SLB inspire des étudiants à adopter la conception en bois

Lorsqu’il s’agit du bois massif, il faut vraiment le voir pour le croire : on comprend mieux son incidence en l’observant de visu. Pour concrétiser cette expérience, le SLB parraine l’événement « Managing Mass Timber: From Forest to Future » (La gestion du bois massif : de la forêt vers l’avenir), une série d’expositions et de conférences itinérantes qui vise à présenter les avantages du bois massif directement aux étudiants et aux professeurs des principales écoles d’architecture, d’ingénierie et de gestion de la construction des régions du nord-est et des Grands Lacs.

Cette exposition interactive est conçue pour bien éduquer les étudiants et les professeurs de niveau postsecondaire sur tous les aspects du bois massif, de l’aménagement durable de la forêt à l’assemblage d’un ensemble de pièces préfabriquées sur le chantier, en soulignant ses avantages sur les autres matériaux. L’événement a fait ses débuts à la Kent State University (KSU), puis des experts en bois massif l’ont présentée sur cinq campus durant la session d’automne 2024 en compagnie des professeurs de gestion de la construction de la KSU, Anthony Mirando et Lameck Onsarigo.

Bien des étudiants en architecture, en ingénierie et en gestion de la construction n’ont jamais eu la chance d’observer les solutions en bois de près. C’est en voyant et en touchant les matériaux naturels, puis en découvrant concrètement son potentiel qu’ils peuvent modifier leur compréhension de l’environnement bâti de demain.

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REPORTAGE DE LA DIVISION DE L’ÉDUCATION

Une exposition et une conférence du SLB offrent une expérience pratique du bois massif aux collèges